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26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 17:23
Un-livre-de-Bruno-Garraud-et-R_reference.jpg

 

Bruno Garraud et Ridha Arfa lors de la présentation de leur ouvrage « Le Tréport 1914-1918 Un ouvrage bilingue, en français et en anglais, reproduit les photos de l'exposition présentée par Bruno Garraud et Ridha Arfa sur les hôpitaux militaires lors de la Première Guerre mondiale. Avec un peu plus de 800 visiteurs lors du premier week-end de novembre, l'exposition sur les hôpitaux militaires durant la Première Guerre mondiale, présentée dans une grande salle qui jouxte la gare haute du funiculaire, ne dément pas son succès. Depuis, quels que soient les caprices du temps, les visiteurs, venus parfois d'autres régions, se bousculent devant les 250 photos, réparties sur 63 panneaux, qui relatent le quotidien des blessés du front de la Somme. Bruno Garraud et Ridha Arfa, qui ont imaginé cette exposition, laquelle par son ampleur et par sa forme constitue une première dans la région, pensent sérieusement à jouer les prolongations. L'exposition devrait donc être visible au-delà du mois du décembre.

 

Texte en anglais et en français

Un ouvrage de 106 pages, Le Tréport 1914-1918, comprenant 110 photos, dont certaines ne figurent pas sur les panneaux exposés, vient d'être publié et est à la disposition du public. Vendu au prix de 23 €, on ne peut se le procurer, pour l'instant, que sur le lieu de l'exposition. Les auteurs ont tenu à ce que cet ouvrage comporte une version britannique. Tous les documents rassemblés sur un même thème, comportent tous un texte en double version, dont la traduction a été effectuée par Jean-Pierre Delalande, professeur d'anglais, aujourd'hui à la retraite. Les hôpitaux militaires installés sur les falaises du Tréport, durant la Première Guerre mondiale, constituaient une base britannique majeure. Ils pouvaient accueillir 10 000 soldats blessés ou convalescents. Il ne reste aujourd'hui dans le paysage que deux cimetières, dans la côte de Dieppe et au Mont-Huon, qui abritent les 2 850 soldats qui n'ont pas survécu à leurs blessures. Cette exposition et l'ouvrage réalisé par Bruno Garraud et Ridha Arfa devraient traverser la Manche. Les Britanniques sont très intéressés par cette initiative. Ridha Arfa est né à Monchy- sur-Eu en 1953. Il a été Eudois, puis Mersois depuis une trentaine d'années. Dessinateur infographiste, passionné d'histoire locale, c'est un collectionneur de documents sur la Première Guerre mondiale. Bruno Garraud est né à Dieppe en 1961. Il a grandi au Tréport, aux Terrasses, sur les lieux mêmes où les hôpitaux britanniques s'étaient installés entre 1914 et 1919. Médecin généraliste, correspondant du Courrier picard, passionné d'histoire et notamment par la Première Guerre mondiale, il a déjà deux livres à son actif : Croix de bois, croix de fer. Si je mens... et Le destinataire n'a pu être atteint.

 

De notre correspondant JACKY MAUSSION

http://www.courrier-picard.fr/

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26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 11:11
Campanglaissurlesterrasses.jpg
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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 17:00
Les hôpitaux au Tréport durant la Grande Guerre
 
La Ville du Tréport vous invite à découvrir tout au long du mois de novembre une exposition conçue par Ridha Arfa et Bruno Garraud, deux historiens locaux. Elle est consacrée aux hôpitaux militaires installés au Tréport durant la première guerre mondiale. Proche du front de la Somme et disposant d’un port et d’une gare permettant à la fois de se ravitailler et d’évacuer les blessés, la ville du Tréport était un lieu privilégié pour l’installation des hôpitaux militaires. Au plus fort de la guerre on y a recensé plus de 10 000 lits destinés à soigner des Français, des Anglais, des Américains, des Danois ou encore des Allemands.
Cette exposition présentant à la fois des cartes postales, des photos et des écrits de l’époque vous permet de partager le quotidien, les joies et les peines du personnel soignant et des blessés. Elle donne un caractère humain à ceux dont la vie se résume aujourd’hui à un nom gravé sur une pierre tombale.
 
L’exposition consacrée aux hôpitaux militaires
est visible dans la salle haute du funiculaire
le vendredi, le samedi et le dimanche
de 14h à 18h du 1er au 30 novembre.
 
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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 14:26
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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 22:52
En-memoire-de-tous-les-combat_reference.jpg

 

Le nouveau monument en fer forgé culmine à près de 7 mètres. Symbole de paix, il devient l'unique monument du Souvenir. Les initiatives à l'occasion du 90e anniversaire de l'armistice de 14-18 ont été au cœur de l'assemblée générale de l'Amicale des anciens combattants, notamment l'inauguration d'un monument. Née au lendemain de la Première Guerre mondiale, l'Amicale des anciens combattants, la plus ancienne des associations tréportaises, a tenu sa 88e assemblée générale dans la salle polyvalente. Pour l'essentiel, ses activités, résumées par Guy Foire, le président, consiste à conseiller, à aider les anciens combattants ou leurs veuves pour effectuer les démarches de demandes de secours, de retraites, de pensions, auprès des différentes administrations. L'amicale met aussi un point d'honneur à participer à toutes les cérémonies patriotiques. Mais c'est surtout l'avenir de l'amicale qui préoccupe Guy Foire et son équipe : « Le dernier combattant de la guerre 14/18 a disparu, les rangs se sont singulièrement clairsemés concernant les résistants, les déportés, les combattants de 39/45. Notre génération, celle de l'Indochine, celle de l'Algérie, n'est pas éternelle. Nous avons la responsabilité de [RC]passer le relais aux jeunes afin que le devoir de mémoire perdure. »

 

Inaugurations en série

Un comité du devoir de mémoire a donc été créé au sein de l'amicale et participe à sa direction. Ce comité, présidé par Jean-Jacques Louvel (PS), adjoint à l'éducation, se propose de susciter des initiatives permettant aux jeunes de s'approprier l'histoire de notre pays. « Les cérémonies, l'exposition de photos sur l'hôpital militaire du Tréport, programmées lors du 90e anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918, s'inscrivent pleinement dans cette démarche », a souligné le maire Alain Longuent (PCF). Répondant au souhait formulé par les anciens combattants, un monument dédié à la paix et à toutes les victimes des guerres sera aussi inauguré le 11 novembre. Érigé sur l'esplanade de la salle Serge-Reggiani, il est conçu sous la forme d'une colombe. Alain Longuent tient à ce que les jeunes des écoles soient associés étroitement à tous ces événements qui se tiendront durant tout le mois de novembre. « Plusieurs jeunes de 13 ou 14 ans m'ont interpellé pour me demander la signification de ce monument. Pour eux la colombe évoque un oiseau. Ils ne font pas le rapport avec le symbole de la paix. » Dans ce quartier en expansion, entre l'esplanade de la salle Reggiani et le parc Sainte-Croix, la cérémonie du 11 novembre se poursuivra avec l'inauguration d'une place et d'une rue qui porteront respectivement les noms de Marcel Daragon et de Lucien Lavacry, deux résistants tréportais. Marcel Daragon est décédé dans les camps et Lucien Lavacry, déporté, disparu au début de l'année 2005, a été adjoint au maire.

 

De notre correspondant
JACKY MAUSSION
http://www.courrier-picard.fr/

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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 18:16

Le 90e anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918 fera date au Tréport. Il a été marqué par l'inauguration de nouvelles voies en hommage à deux Résistants et à un élu et par l'inauguration du nouveau monument du souvenir de la ville symbolisée par une colombe de la Paix.


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 Souvenir, émotion, espoirs de Paix, tous ces sentiments ont présidé à la cérémonie organisée au Tréport à l'occasion du 90e anniversaire de l'Armistice, cérémonie à laquelle assistait M. Olivier de Mazières, sous-préfet de Dieppe. Deux temps forts dans cette cérémonie, le dévoilement des plaques de rues qui permettent d'honorer la mémoire de deux anciens résistants et d'un ancien adjoint au maire et l'inauguration du nouveau monument du Souvenir érigé en mémoire de tous les Tréportais qui ont donné leur vie pour la liberté et pour la paix. Avant d'inviter Mme Beuvain à dévoiler la plaque portant le nom de son mari, Alain Longuent rappelait que William Beuvain avait fait partie de l'équipe municipale à partir de 1983 et qu'il fut notamment adjoint à la culture. 'A ce titre, il avait ardemment réclamé cette salle culturelle à laquelle nous avons donné le nom de Serge Reggiani mais malheureusement il est disparu trop tôt, avant même que la première pierre ne soit déposée. Donner à cette voix d'accès le nom de William Beuvain est donc tout un symbole d'autant qu'il avait vu le jour dans ce quartier. Une autre allée menant à cette salle portera le nom de Lucien Lavacry. Il avait 15 ans lorsque débuta la deuxième guerre mondiale et c'est en travaillant chez un marchand de fruits et légumes qu'il écoute Radio Londres. Il suit les conseils et dans le garage réquisitionné par l'occupant, il verse allègrement sucre et sable dans les réservoirs des véhicules ennemis. Lors d'un déplacement professionnel à Rouen, il tombe sous un mitraillage et son patron est tué. Il décide à ce moment de signer un engagement pour les FTP. Il est arrêté le 18 avril 1944 et le 18 juin de cette même année il est déporté à Dachau. Mis en quarantaine au commando d'Allach il sera libéré le 30 avril 1945 et n'aura de cesse ensuite de perpétuer le souvenir de ceux qui ont perdu la vie dans ces camps de la mort : 'Cet univers de numéros anonymes que nous étions devenus mais aussi des frères, des frères de misère. Autre Tréportais résistant dont la place située près de la salle Reggiani portera désormais le nom, Marcel Daragon. Il s'était engagé dans la Résistance le 1er février 1941 dans le réseau Sosie dirigé par le colonel Ponchardier. Dans ce réseau figuraient également Edouard Rivière qui deviendra vice-amiral, Maria et René Chapelle, Julien Eldert, Klébert et Emile Lesage ou le Mersois Maurice Holleville. Arrêté le jour de Pâques 1944, Marcel Daragon est déporté lui aussi à Dachau et il décédera dans les mines de sel de Flossenburg le 14 janvier 1945. Au coeur de ce nouveau quartier en pleine évolution se dresse désormais un monument moderne réalisé par Alfredo Guerrero Robles, un designer d'origine mexicaine. Ce monument, largement inspiré de la colombe de Picasso. Un lieu unique d'hommage En présence d'une nombreuse assistance, Alain Longuent expliquait la génèse de cette création : 'Depuis des décennies, chaque cérémonie patriotique donnait lieu à un cérémonial qui s'apparentait au parcours du combattant. La commune comptait en effet plusieurs monuments difficiles d'accès parce que situés dans le haut de la ville et pour les anciens combattants, il devenait de plus en plus difficile de pouvoir participer aux cérémonies. En accord avec ces derniers, il a donc été décidé d'édifier un monument dédié à la paix qui constituerait un lieu unique d'hommage aux victimes de toutes les guerres. Alain Longuent évoquait également la création d'un comité de devoir de mémoire, présidé par Jean-Jacques Louvel et composé d'enfants et de petits-enfants de déportés, d'anciens combattants, de passionnés d'histoire. 'Ce comité ne vise pas à entretenir un mythe gratuit, il consiste à marquer notre attachement à notre histoire commune, parfois tragique, parfois grandiose. Marcel Daragon fils, président de la FNDIRP remerciait la municipalité du Tréport de son initiative et excusait M. Georges Morel, dernier rescapé des camps de la mort avant d'ajouter : 'Nos vieux adversaires, l'oubli, le mensonge, la falsification sont toujours là. Nous les militants serons toujours là et bien là, pour agir pour cet avenir que nous souhaitons aider à construire pour nos descendant. Auparavant, M. Foire, président des Anciens Combattants, avait rappelé par le chiffre l'horreur de cette première guerre mondiale : 13 millions de morts dont 1,4 million Français, 740 000 invalides. '90 ans après, les cicatrices de ce conflit sont toujours là et nous devons nous souvenir pour que les combattants de la grande guerre ne meurent pas une seconde fois. Olivier De Mazières avait lu le message du secrétariat aux Anciens Combattants au pied du nouveau monument. Il avait également, en compagnie d'Alain Longuent allumé pour la première fois la flamme du souvenir qui brûle dans une vasque placée sous le monument. Plus tard, il a tenu à féliciter la commune du Tréport pour cette manifestation remarquable et à remercier la nombreuse population présente. 'J'ai tenu à être au Tréport car on est ici dans une terre qui est un haut lieu de Résistance. C'était important que le représentant de l'Etat ne soit pas cantonné à Dieppe pour ce type de cérémonie et qu'il se déplace ici parce qu'il s'y est passé des choses importantes et que la population a souffert dans sa chair et qu'elle s'est mobilisée et qu'elle a montré l'exemple à bien des aspects. Le souvenir des sacrifiés du premier conflit mondial, de ce pays qui a été saigné à blanc doit nous rappeler qu'il s'agissait du premier conflit de masse mais aussi le premier conflit où on ne mourrait pas seulement au front. Aujourd'hui, il ne faut pas croire que l'on se contente de se rappeler le souvenir de ces victimes, on doit se prémunir pour éviter que cela ne se reproduise. Les facteurs de guerre sont toujours là, ils sont consubstantiels à l'humanité : l'envie, le nationalisme, le fanatisme : qui aurait pu penser que huit décennies après la première guerre mondiale, un conflit ferait 200 000 morts à deux heures d'avion de Paris. La guerre peut revenir et le seul moyen de s'en prémunir est de se souvenir ce que la guerre a coûté en terme de vies humaines. Au cours de cette cérémonie, les enfants du conseil municipal jeunes ont lu le poème de Paul Eluard, Liberté :
Sur mes cahiers d'écoliers
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable, sur la neige
J'écris ton nom Liberté


http://www.linformateur.com/

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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 16:20

La visite du Khal-Bürg, forteresse construite dans la falaise en 1942, a attiré la foule. Elle devenue accessible grâce au travail réalisé par Didier Morainville et son équipe.

Les journées du patrimoine sont l'une des occasions, trop rares, de visiter le Khal-Bürg. L'ouvrage construit au cœur de la falaise en 1942, après le raid Canadien sur Dieppe lors de l'opération « Jubilée » a été particulièrement soigné par les membres du club d'histoire de l'association des anciens élèves de l'école élémentaire dirigée par Didier Morainville. Travail fastidieux qui s'est étalé sur plusieurs années et qui permet aujourd'hui de visiter le Khal-Bürg dans de bonnes conditions. L'ensemble est éclairé et l'entrée plus accessible se situe dorénavant rue du 8 mai 1945 sur la propriété de Didier Creton.

 

Projet de réhabilitation

Nouveauté : deux galeries permettent de découvrir les vestiges retrouvés dans la forteresse : téléphone de campagne, fusil mitrailleur MG 42, vaisselle, caisse de munitions et toutes sortes d'objets utilisés par les soldats Allemands. Il y avait beaucoup de monde, notamment des résidants du Tréport et des villes voisines, qui n'ont pas voulu rater cette occasion de découvrir ou de redécouvrir un ouvrage qui est resté dans la mémoire collective comme le symbole de l'occupation dans la région. L'ensemble est impressionnant. Au total 32 pièces, environ 225 marches et 270 mètres de galeries taillés dans la craie, la quasi-totalité de l'ouvrage est maçonnée en briques, seule une section est restée à l'état brut. Elle n'est pas visible pour des raisons de sécurité, c'est elle qui renferme le poste de tir avec un canon pointé vers le large. Didier Morainville souhaite passer à une autre étape. Un projet de réhabilitation du site est en passe de voir le jour : « Deux ouvrages très ressemblants dans la continuité de celui-ci pourraient ainsi faire partis du projet ». Selon Didier Morainville, la falaise n'a donc pas fini de livrer tous ses secrets : « À ce jour, nous avons recensé environ 80 ouvrages sur les communes du Tréport et de Mers-les-Bains. Très peu sont visibles et sombrent petit à petit dans l'oubli. Notre devoir de mémoire passe inévitablement par la connaissance de ces quelques constructions qui peuvent encore être sauvées ». Dans quelques jours, les membres du club histoire vont concrétiser l'un des objectifs. Le toit du blockhaus situé rue de Flandres-Dunkerque, englouti actuellement sous la végétation, va être réparé. Il abritait un télémètre. La visite du Khal-Bürg était organisée par Didier Morainville, Didier Creton, Rodolphe Bric et Jacques Viarre.

 

De notre correspondant

JACKY MAUSSION

http://www.courrier-picard.fr/

 

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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 10:42

Le public pourra découvrir le quotidien des personnels de santé et des blessés à l'hôpital du Tréport La ville du Tréport compte frapper un grand coup lors des cérémonies de commémoration du 90e anniversaire de l'armistice signé le 11 novembre 1918 à Rethondes en forêt de Compiègne et mettant fin à la Grande Guerre. Une exposition mise en place par deux passionnés de cette période historique, Ridha Arfa et Bruno Garraud, invite à découvrir le vécu des acteurs de ces événements, à travers de nombreux documents d'époque : cartes postales, cartes photos, lettres, journaux intimes, dessins… Au total, près de deux cent cinquante pièces collectées patiemment et archivées scrupuleusement racontent le quotidien de l'infirmière Edith Appleton, du capitaine Ralph Kite, du soldat George Lloyd… Des centaines de médecins, infirmières, ambulanciers et autres personnels de santé ont travaillé dans des conditions souvent précaires. Plus de dix mille blessés français, danois, anglais, canadiens, américains ou allemands ont été soignés à l'hôpital militaire fait de baraquements et de tentes qui se dressaient au Tréport Terrasses, près du funiculaire.

Conférence et théâtre
Bruno Garraud présentera le mardi 11 novembre une conférence sur les hôpitaux militaires, images 3 D à l'appui - des lunettes spéciales seront fournies. Cette commémoration exceptionnelle sera l'occasion pour la municipalité d'inaugurer le 11 novembre son monument du souvenir, œuvre de l'artiste Alfredo Guererro. Un monument qui représente la colombe de la paix. Enfin, une pièce de théâtre évoquant à travers une correspondance épistolaire l'histoire d'un jeune couple séparé par la guerre sera donnée le 14 novembre à la salle Reggiani.


http://www.paris-normandie.fr/home/index.html

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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 10:31
soeursaucim.jpg

Infirmières canadiennes au cimetière du Tréport
Collection Alain et Annick Letenneur
http://www.letenneur.com/
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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 19:27
CeremoniessesituantaupremiercimetieremilitairedelacotedeDieppe.jpg

Cérémonies se situant au premier cimetière militaire de la côte de Dieppe
Collection Alain et Annick Letenneur
http://www.letenneur.com/
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